RT @memetiddies@twitter.com:
đŠđ: https://twitter.com/memetiddies/status/1045639721681072128
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SĂ©rieusement les gens, comment vous pouvez tolĂ©rer ça ? (Ăa fait 20 minutes qu'il est comme ça !)
La combinaison du dimanche soir (ou d'aprĂšs) est donc 19/28 par Tristan @nitot ! Son article "En vrac" du 21 septembre propose 19 informations avec 28 liens vers des ressources : https://standblog.org/blog/post/2018/09/21/En-vrac-du-vendredi TrĂšs bonne lecture (mĂȘme si ces nouvelles ne sont pas toujours "rassurantes"....) !
Créer une page regroupant toutes les astuces en vrac ? https://www.journalduhacker.net/s/utws9c/cr_er_une_page_regroupant_toutes_les https://blog.seboss666.info/2018/09/creer-une-page-regroupant-toutes-les-astuces-en-vrac/ #lignesdecommande #wordpress
[#Actu] « Facebook accusé de partager des offres d'emploi visibles uniquement par les hommes » http://www.clubic.com/pro/blog-forum-reseaux-sociaux/facebook/actualite-845531-facebook-partager-offres-emploi-visibles-hommes.html #vieprivée #facebook #gafam #gafa
#FĂȘtedelhuma, premier jour : toujours bien sympa notamment de retrouver les autres libristes.
Quelqu'un peut me dire qu'est-ce qu'il y a de si spécial dans l'air de Lyon pour que ce soit des Lyonnais qui s'occupent de mon informatique (sites internet compris) alors que je vis à Paris et que je n'ai que des mauvais souvenirs de la capitale des Gaules ?
Merci de ne pas ricaner (bĂȘtement, forcĂ©ment) certains.
LMDE 3 âCindyâ Cinnamon released!
Encore un excellent billet de @Calimaq qui revient sur la décision de Redis. Et qui s'attaque de nouveau au modÚle capitaliste, de maniÚre intelligente, motivée, et qui propose des solutions existantes pour s'opposer non à la commercialisation des logiciels libres, mais à des comportements commerciaux ne bénéficiant pas à la communauté.
La « Commons Clause » de Redis : une mauvaise réponse à de vraies questions ? https://scinfolex.com/2018/08/26/la-commons-clause-de-redis-une-mauvaise-reponse-a-de-vraies-questions/ via @wallabagapp
La semaine derniĂšre a Ă©tĂ© marquĂ©e par une polĂ©mique qui a traversĂ© la communautĂ© de lâOpen Source. Elle a pour origine la dĂ©cision de la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine Redis Labs, spĂ©cialisĂ©e dans les solutions de gestion de bases de donnĂ©es, de modifier la licence sous laquelle elle propose certains des logiciels quâelle dĂ©veloppe. Utilisant jusquâalors une licence trĂšs ouverte (BSD), elle a optĂ© pour une autre licence libre (Apache), mais â et câest ce qui a fait dĂ©bat â en lui adjoignant une clause supplĂ©mentaire dite « Commons Clause », destinĂ©e Ă protĂ©ger ses intĂ©rĂȘts commerciaux.
Voici une traduction en français de ce mécanisme :
Le Logiciel vous est fourni par le Concédant en vertu de la Licence, telle que définie ci-dessous, sous réserve de la condition suivante.
Sans restreindre les autres conditions de la Licence, lâoctroi de droits en vertu de la Licence nâinclura pas, et la Licence ne vous accorde pas, le droit de vendre le Logiciel.
Aux fins de ce qui prĂ©cĂšde, « Vendre » signifie exercer tout ou partie des droits qui vous sont accordĂ©s en vertu de la Licence pour fournir Ă des tiers, contre rĂ©munĂ©ration ou autre contrepartie (y compris, sans limitation, les frais dâhĂ©bergement ou de services de support/conseil liĂ©s au Logiciel), un produit ou un service dont la valeur dĂ©rive, entiĂšrement ou substantiellement, de la fonctionnalitĂ© du Logiciel.
Et voilĂ comment Redis Labs justifie ce changement sur son site :
Les logiciels modernes dâinfrastructure Open Source ont crĂ©Ă© plus de valeur au cours de la derniĂšre dĂ©cennie que nous nâaurions pu lâimaginer. Les bases de donnĂ©es, les orchestrateurs, les systĂšmes distribuĂ©s et autres technologies logicielles alimentent dĂ©sormais presque toutes les entreprises de la planĂšte ; tout cela grĂące Ă la philosophie collaborative et partagĂ©e de la communautĂ© Open Source.
Cependant, les fournisseurs de cloud dâaujourdâhui ont Ă maintes reprises violĂ© cette Ă©thique en tirant parti de projets Open Source emblĂ©matiques et en les reconditionnant en offres de services concurrents et propriĂ©taires. Ces fournisseurs de cloud contribuent trĂšs peu (voire pas du tout) Ă ces projets Open Source. Au lieu de cela, ils utilisent leur position monopolistique pour en tirer des centaines de millions de dollars de revenus. DĂ©jĂ , ce comportement a endommagĂ© les communautĂ©s Open Source et mis hors service certaines des entreprises qui les soutiennent.
Redis constitue un exemple de ce paradigme. Aujourdâhui, la plupart des fournisseurs de cloud computing offrent Redis en tant que service gĂ©rĂ© sur leur infrastructure et profitent dâĂ©normes revenus provenant de logiciels quâils nâont pas dĂ©veloppĂ©s. Redis Labs mĂšne et finance le dĂ©veloppement de Redis Open Source et mĂ©rite de bĂ©nĂ©ficier des fruits de ces efforts. Redis est et restera toujours sous licence BSD Open Source, mais nous avons dĂ©cidĂ© dâempĂȘcher les fournisseurs de cloud de crĂ©er des services gĂ©rĂ©s Ă partir de certains add-ons sur Redis (par exemple RediSearch, Redis Graph, ReJSON, Redis-ML, Rebloom). Ces derniers sont sous licence Apache 2.0 modifiĂ©e avec la « Commons Clause ».
En rĂ©alitĂ©, Redis Labs fait partie de ces nombreuses sociĂ©tĂ©s spĂ©cialisĂ©es dans lâOpen Source qui ne commercialisent par des logiciels, mais des services associĂ©s. Elle offre sous licence libre un systĂšme de gestion de base de donnĂ©es que dâautres entreprises peuvent trĂšs bien reprendre, Ă condition de disposer de leur propre infrastructure dâhĂ©bergement. Mais pour celles qui nâont pas ces facilitĂ©s, elle propose un service payant dâhĂ©bergement basĂ© sur cette solution, qui lui permet de rĂ©aliser son chiffre dâaffaire.
Ce que critique Redis Labs, câest que dâautres entreprises se comportent comme des « passagers clandestins » en rĂ©cupĂ©rant le logiciel sans contribuer en retour Ă son dĂ©veloppement, mais en fournissant des services payants qui lui font une concurrence directe. DâoĂč la dĂ©cision de garder le coeur du logiciel sous licence Open Source, mais dâajouter une clause pour certains modules qui va empĂȘcher dorĂ©navant la commercialisation de services basĂ©s sur ce systĂšme. Il restera toujours possible pour dâautres entreprises de rĂ©cupĂ©rer le logiciel pour leurs besoins internes, si elles sont en mesure de supporter par elles-mĂȘmes les coĂ»ts de dĂ©ploiement et dâinfrastructure, mais la formule en B to B deviendra dorĂ©navant une exclusivitĂ© de Redis Labs.
Ce changement de licence a Ă©tĂ© fraĂźchement accueilli par une partie de la communautĂ© Open Source, qui lui reproche de contrevenir Ă ses principes fondateurs. Câest le cas par exemple du dĂ©veloppeur Drew DeVault, qui a Ă©crit un intĂ©ressant billet Ă ce sujet sur son blog, intitulĂ© «La Commons Clause va dĂ©truire lâOpen Source». Il rappelle que la premiĂšre des quatre libertĂ©s du logiciel libre implique que lâon puisse faire usage du programme Ă nâimporte quelle fin et cela implique de ne pas discriminer les utilisations commerciales. Câest ce que lâon peut lire sur le site du projet GNU, qui a historiquement dĂ©fini les rĂšgles du logiciel libre :
« Logiciel libre » ne signifie pas « non commercial ». Un programme gratuit doit ĂȘtre disponible pour lâutilisation commerciale, le dĂ©veloppement commercial et la distribution commerciale. Le dĂ©veloppement commercial du logiciel libre nâest plus inhabituel ; il joue mĂȘme un rĂŽle trĂšs important. Il se peut que vous ayez payĂ© pour obtenir des copies de logiciels libres, ou que vous ayez obtenu des copies sans frais. Mais quelle que soit la façon dont vous avez obtenu vos copies, vous avez toujours la libertĂ© de copier et de modifier le logiciel, voire de vendre des copies.
Drew DeVault reconnaĂźt bien que la « concurrence dĂ©loyale » exercĂ©e par les passagers clandestins dĂ©noncĂ©s par Redis Labs constitue un problĂšme pouvant affecter la capacitĂ© des projets Open Source Ă sâauto-financer et il raconte en avoir lui-mĂȘme subi les frais. Mais Ă ses yeux, remettre en cause les principes des licences libres nâest pas une solution acceptable et il recommande plutĂŽt de se tourner vers le financement participatif, notamment sous la forme de dons rĂ©currents versĂ©s par le public tous les mois Ă un projet, qui permettent selon lui dâobtenir une certaine stabilitĂ©.
Jâavoue pour ma part me sentir mal Ă lâaise aussi bien avec la stratĂ©gie de Redis Labs quâavec les arguments de ses dĂ©tracteurs. Les deux points de vue me paraissent en rĂ©alitĂ© reflĂ©ter les contradictions qui affectent le mouvement du Libre et de lâOpen Source Ă propos des questions Ă©conomiques, et jâavais dâailleurs dĂ©jĂ eu lâoccasion de pointer ces difficultĂ©s dans un billet publiĂ© en juin dernier sur ce blog : « Les Communs numĂ©riques sont-ils condamnĂ©s Ă devenir des Communs du Capital ? »
Drew Devault estime que si cette clause se rĂ©pandait en Ă©tant adoptĂ©e par de nombreux projets, cela reviendrait à « dĂ©truire lâOpen Source » car elle aurait pour effet de transformer les logiciels libres en « logiciels propriĂ©taires ». On ne peut pas lui donner tort sur ce point, car cette Commons Clause ressemble en effet Ă la clause « Non-Commercial » des licences Creative Commons (elle a nĂ©anmoins une portĂ©e moins grande, car la Commons Clause nâinterdit que la vente de la ressource, alors que le NC des Creative Commons interdit tout usage ayant pour but « la recherche dâun avantage commercial », ce qui empĂȘcherait par exemple que des entreprises rĂ©utilisent simplement le logiciel en interne). Jâai dĂ©jĂ eu lâoccasion de dire, il y a quelques temps, que je nâĂ©tais pas opposĂ© Ă lâemploi de la clause NC des Creative Commons, notamment pour les oeuvres culturelles, lorsque câest un moyen pour les crĂ©ateurs de mettre en place un modĂšle Ă©conomique viable. Mais en matiĂšre de logiciels, les choses sont relativement diffĂ©rentes, car il existe Ă prĂ©sent un Ă©cosystĂšme Ă©conomique robuste, avec des formules diversifiĂ©es ayant fait leurs preuves sans passer par le NC. A ce titre la Commons Clause marque bien un retour en arriĂšre et câest une rĂ©surgence problĂ©matique de la logique propriĂ©taire. Elle revient finalement Ă sâappuyer sur le droit de propriĂ©tĂ© pour rĂ©tablir une exclusivitĂ© commerciale au profit dâune entreprise.
De ce point de vue, je trouve dommageable que Redis Labs ait choisi dâappeler ce mĂ©canisme « Commons Clause », faisant par lĂ rĂ©fĂ©rence Ă la thĂ©orie des Communs. Certes ce courant sâinscrivant dans la lignĂ©e des travaux dâElinor Ostrom prend en compte le problĂšme des « passagers clandestins » contre lesquels il convient de lutter pour assurer la pĂ©rennitĂ© des ressources mises en partage. Mais cette pensĂ©e est aussi basĂ©e sur une critique de lâexclusivisme propriĂ©taire qui fait ici un retour assez brutal avec la clause ajoutĂ©e par Redis Labs. Drew Devault va jusquâĂ dire que les dĂ©veloppeurs qui ont contribuĂ© aux modules du projet Redis ont Ă©tĂ© flouĂ©s et que la sociĂ©tĂ© leur a « volĂ© leur travail », puisquâelle va Ă prĂ©sent lâenfermer dans un logiciel propriĂ©taire. On voit donc que cette intention de lutter contre les passagers clandestins finit par dĂ©boucher sur une forme dâenclosure du Commun, ce qui est contradictoire.
Dâun autre cĂŽtĂ©, la rĂ©action des tenants de la tradition de lâOpen Source ne me paraĂźt pas non plus satisfaisante, notamment leur maniĂšre de sâaccrocher au dogme de la non-discrimination des usages commerciaux. Câest dâailleurs un problĂšme affectant de maniĂšre bien plus large la sphĂšre des logiciels libres et Open Source, qui ont dans leur grande majoritĂ© soit du mal Ă dĂ©gager par eux-mĂȘmes les moyens nĂ©cessaires pour sâauto-financer, soit des liens de dĂ©pendance Ă©conomique avec des firmes capitalistes sans lesquels ils ne pourraient assurer leur pĂ©rennitĂ©. Si lâon reprend le cas de Redis, il faudrait idĂ©alement que les entreprises de cloud computing consacrent des moyens pour contribuer en retour au dĂ©veloppement de son logiciel, ce qui est par exemple la situation de Linux. Mais cette configuration soulĂšve elle aussi des questions dans la mesure oĂč elle transforme les logiciels libres en des « Communs du Capital », placĂ©s dans la dĂ©pendance dâentreprises dont le comportement peut par ailleurs poser question. On peut par exemple se fĂ©liciter quâIBM, Google, Facebook ou mĂȘme Microsoft soient devenus des contributeurs importants Ă Linux, mais ces acteurs constituent aussi des incarnations du « capitalisme de surveillance » que les libristes dĂ©noncent et combattent par ailleursâŠ
Il en rĂ©sulte une contradiction extrĂȘmement problĂ©matique, qui ne pourra Ă mon sens ĂȘtre levĂ©e quâen se donnant la capacitĂ© de discriminer certains usages commerciaux parmi dâautres. On pouvait difficilement sâattendre Ă ce que Redis Labs procĂšde ainsi, car cette sociĂ©tĂ© constitue elle-mĂȘme une entreprise capitaliste tout ce quâil y a de plus classique, dont le financement a Ă©tĂ© assurĂ© en mode startup par des levĂ©es de fonds auprĂšs de pourvoyeurs de capital-risque. Il Ă©tait donc assez logique quâils choisissent de protĂ©ger leurs intĂ©rĂȘts commerciaux en retombant dans la logique propriĂ©taire. Mais il existe dâautres propositions de licences, qui envisagent autrement cette fameuse « Commons Clause » et dans un sens â Ă mon avis â bien plus compatible avec la philosophie des Communs.
Câest le cas des licences Ă rĂ©ciprocitĂ© renforcĂ©e, dont jâai eu lâoccasion de parler Ă maintes reprises sur ce blog. La plus connue est la Peer Production Licence, Ă©laborĂ©e par lâallemand Dmitry Kleiner en modifiant une licence Creative Commons CC-BY-NC-SA. Le rĂ©sultat pourrait paraĂźtre Ă premiĂšre vue assez proche de la formule « Licence Apache + Commons Clause » de Redis Labs, sauf que Kleiner nâavait pas pour but dâinterdire tous les usages commerciaux, mais seulement ceux dâentreprises non-structurĂ©es sous la forme de coopĂ©ratives. Son intention Ă©tait de crĂ©er un pont entre la sphĂšre du Libre et celle de lâEconomie Sociale et Solidaire (ESS) pour protĂ©ger les ressources des comportements des acteurs obĂ©issant Ă une logique « extractiviste ». LâidĂ©e consiste Ă faire en sorte que la valeur gĂ©nĂ©rĂ©e par les Communs ne soit pas aspirĂ©e en dehors du cercle des acteurs contribuant Ă leur dĂ©veloppement pour participer Ă lâaccumulation du capital. On voit donc que le problĂšme nâest pas en lui-mĂȘme la commercialitĂ© ou le fait dâopĂ©rer sur le marchĂ©, mais certains types de comportements Ă©conomiques dĂ©coulant de la nature mĂȘme des acteurs.
Lâenjeu pour les Communs nâest pas â comme veut le faire Redis Labs â de prĂ©server le modĂšle Ă©conomique dâune entreprise dĂ©terminĂ©e, mais de constituer au niveau global une « Economie des Communs » qui puisse garantir le dĂ©veloppement et la pĂ©rennitĂ© des ressources partagĂ©es, en coupant les liens de dĂ©pendance avec les entreprises capitalistiques classiques. Le problĂšme du « capitalisme de surveillance » rĂ©side autant dans la surveillance que dans le capitalisme lui-mĂȘme, or le mouvement du Libre et de lâOpen Source sâest interdit dâattaquer le fond du problĂšme Ă cause de « lâagnosticisme Ă©conomique » inhĂ©rent Ă la maniĂšre dont les quatre libertĂ©s du logiciel libre ont Ă©tĂ© formulĂ©es.
La Peer Production Licence a eu le mĂ©rite de montrer la possibilitĂ© dâune autre voie, mais il en a rĂ©sultĂ© un prototype encore imparfait. Dâautres tentatives de formulation de licences Ă rĂ©ciprocitĂ© sont actuellement en cours. La Coop des Communs propose par exemple un « Coopyright » articulĂ© autour de lâidĂ©e de non-lucrativitĂ© ou de lucrativitĂ© limitĂ©e, qui permet dâatteindre un rĂ©sultat assez similaire Ă la Peer Production Licence, mais en embrassant lâensemble des structures ESS et pas seulement les coopĂ©ratives. Une autre piste Ă surveiller est celle du projet CoopCycle qui va bientĂŽt proposer une licence Ă rĂ©ciprocitĂ© adaptĂ©e au logiciel. Visant Ă lutter contre lâubĂ©risation en proposant une alternative Ă©thique Ă des sociĂ©tĂ©s comme Deliveroo, CoopCycle doit nĂ©cessairement se donner les moyens de discriminer entre les acteurs commerciaux comme ils lâexpliquent dans ce billet (« Comment protĂ©ger les logiciels libres contre la prĂ©dation capitalistique ?« ) :
Si Wikipedia prouve que les licences libres sont tout Ă fait compatibles avec la gestion en Commun, lâobjectif politique ne lâest pas. En effet, vous conviendrez quâil serait paradoxal de dĂ©velopper un logiciel dans le but dâoffrir une alternative aux gĂ©ants de la foodtech, plus responsable socialement, et dans le mĂȘme temps de laisser se dĂ©velopper des entreprises beaucoup moins scrupuleuses quant au statut et Ă la protection sociale de leurs livreurs sur la base de ce mĂȘme logiciel. Câest pourquoi aujourdâhui, toute la problĂ©matique Ă laquelle nous cherchons Ă rĂ©pondre est celle de la licence adĂ©quate pour concilier les grands idĂ©aux du mouvement libriste avec cette exigence de responsabilitĂ© sociale.
VoilĂ prĂ©cisĂ©ment ce quâil manque Ă la Commons Clause de Redis Labs pour mĂ©riter rĂ©ellement son nom : un lien assumĂ© avec la transformation sociale et la responsabilitĂ© sociale, associĂ© Ă une vision Ă©conomique claire capable de distinguer chez un acteur marchand un comportement prĂ©dateur dâun comportement gĂ©nĂ©ratif. On peut donc dire au final que la Commons Clause constitue une mauvaise rĂ©ponse Ă de bonnes questions. Lâerreur de Redis Labs est de prĂ©tendre faire du Commun en ne prenant en compte que la protection de son propre modĂšle Ă©conomique, sans voir que lâenjeu vĂ©ritable nâest pas microĂ©conomique mais macroĂ©conomique. Il consiste Ă mettre fin aux liens de dĂ©pendance qui font encore trop souvent des Communs numĂ©riques de simples pseudopodes du Capital participants Ă sa reproduction, lĂ oĂč lâurgence absolue consiste Ă se donner les moyens dâen sortir.
[Mise Ă jour du 29/08/2018 : on pourra prolonger la lecture de ce billet par un autre chez Framasoft, intitulĂ© « Les logiciels libres meurent lentement sans contribution » qui aborde sous un autre angle ce phĂ©nomĂšne des passagers clandestins menaçants le logiciel libre dâune TragĂ©die des Communs].
Happy Birthday, Debian. đ đ đ
25 years old.
Ian Murdock announced #Debian on August 16th 1993. The first release, 0.01, was made the next month, on September 15th.
Congratulations & thanks to the Debian volunteers, past and present, for making it such a fantastic distro. Here's to the next 25 years.
https://www.debian.org/doc/manuals/project-history/ch-intro.en.html
@arretsurimages tenez pour tout comprendre franchement vaut le coup d'oeil pour tout comprendre >> Parcoursup : un enfer pavé de bonnes intentions ?
M. Judicaël Courant #RMLL18
http://www.canalc2.tv/video/15201
L'Academy of Motion Picture Arts and Sciences (AMPAS) et la Linux Foundation se sont récemment associés afin de créer une entité commune baptisée Academy Software Foundation (ASWF)
https://www.clubic.com/humour-informatique-geek/actualite-844899-open-source-industrie-americaine-cinema-associe-fondation-linux.html
Les roumains luttent !
et nous montrent qu'il est tjrs possible Ă un peuple de se lever d'un seul homme contre la corruption ! đ
https://mobile.lemonde.fr/europe/article/2018/08/11/les-roumains-a-nouveau-dans-la-rue-contre-le-gouvernement_5341650_3214.html?xtref=http://m.facebook.com/
@arnaud_thurudev : https://twitter.com/arnaud_thurudev/status/1027977463924760576?s=09
Et pendant ce temps, bravo Ă celles et ceux qui rĂ©pondent sur la liste @LibreOfficeFR ha les questions đ et...
avec la sortie de @LibreOffice 6.1, des rĂ©ponses (EN) Ă toutes les questions sur Ask Me Anything / @reddit ! đđđ
( https://frama.link/liboama)
Il dit « Crypter » au lieu de « Chiffrer » et se fait tabasser https://www.journalduhacker.net/s/8odjit/il_dit_crypter_au_lieu_de_chiffrer_et_se https://infauxsec.github.io/crypto/2018/08/01/crypter-chiffrer-il-se-fait-tabasser.html #humour
@neiljomunsi il y a un d' «extinction» là dessous
https://www.theverge.com/2018/2/8/16992306/netflix-extinction-michael-pena-universal-cloverfield-paradox
L'entreprise @Ozmocorp vient de publier une nouvelle vidéo, toujours plus inquiétante⊠Quel est leur plan ? Que manigancent ces gens ? https://www.youtube.com/watch?v=-8bSBai_jDQ&t=1s
RT @GorafiSports: La passation de pouvoir entre Edouard Philippe et Killian Mbappé aura lieu mercredi matin #FRACRO source: https://twitter.com/le_gorafi/status/1018531955959197696
Sortie de LDAP Tool Box Self Service Password 1.3 https://linuxfr.org/news/sortie-de-ldap-tool-box-self-service-password-1-3 source: https://twitter.com/linuxfrorg/status/1017453869759123456
Hello les mastonautes
Y aurait il des
matheux et pythoneux
qui pourraient donner un coup de main à un développement libre/opensource
de conception d'avatars 3D
Dans un premier temps il s'agit d'aider l'Ă©quipe et dev en place
mais aussi ajouter des fonctions comme en photogrammétrie
La participation peux
> Se faire dans le cadre de TP / Projet d'Université / Ecole d'ingé en associant enseignants et étudiants.
> Octroyer des réductions d'impÎts à ceux qui en payent
+ d'infos en PP
Pouet Sonore !! MORDU => https://k.hostux.social/#son/mordu
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