https://friction-magazine.fr/joyce-riviere/
> Je pourrais en écrire des lignes sur ce en quoi nous, les femmes trans au sein de la communauté transpédégouine, nous sommes des attractions jetables, qu’on n’a tellement pas d’existence qu’on peut baiser à côté de nous sans nous demander notre avis et qu’on prend des médocs, souvent des antidépresseurs et du xanax, pour faire tenir tout ça.