« [...] l’essentiel en fait se joue ailleurs : dans les têtes, où il faut impérativement installer l’idée — contre-intuitive — qu’à la fin du cycle électoral (disons après le second tour des législatives), en fait tout commence. On voit tout de suite la difficulté : il s’agit de refaire ni plus ni moins qu’un habitus politique, de défaire l’habitus de la passivité, de la dépossession électorale, pour lui substituer un habitus de l’intervention populaire « permanente ». »
https://www.revue-ballast.fr/frederic-lordon-rouler-sur-le-capital-2-3/