@ondiz Es posible. Es que especulan con las tortas estas como si fueran vinos franceses gran reserva o cosas así. Animaladas. Hablo de varios millones de las-antiguas-pesetas por una torta. La gente invierte en tortas de precio medio-bajo y las guarda en casa sin tocarlas, esperando a que suba. Rollo fórum filatélico. Tú guárdate algunas masas madre por ahí, que el día de mañana nunca se sabe... @demoakracia @auroch
Le documentaire Nothing to hide est sorti discrètement, très discrètement, sur les écrans français le mercredi 8 septembre dernier.
Ce film est un documentaire dédié à la question de la surveillance de masse et à son acceptation dans la population. Il a été réalisé et produit par deux journalistes, l'un français, Marc Meillassoux, et l'autre allemand, Mihaela Gladovic. Quant à son financement, il l'a été possible grâce à une souscription en ligne à laquelle plus de 400 internautes ont participé.
Nous nous accordons généralement à dire que les régimes de surveillance sont intrinsèquement liberticides et dangereux. Pourtant, nous utilisons tous un nombre croissant de services et applications "gratuits" comme Facebook, Google, Whatsapp etc... Les révélations Edward #Snowden ont démontré que les données récoltées par ces entités privées servent essentiellement de matière première à la surveillance de masse (programmes PRISM, XKeyscore...).
La réponse à ce dilemme a été notamment fourni par Eric Schimdt, le PDG de Google, et est repris allègrement par nos politiciens : "si vous n’avez rien à cacher, vous n’avez rien à craindre". Ainsi chacun d’entre nous peut continuer de bénéficier en toute sérénité de ces services en ligne, de se répéter "je n’intéresse de toute façon personne" et quoiqu'il en soit "ils peuvent bien regarder, je n’ai rien à cacher". La logique du "rien à cacher" à l’ère du Big Data n’a encore jamais été interrogée. Éluder cette question nous empêche pourtant de répondre à une autre : quelle société sommes nous en train de construire pour nous et les générations à venir ?
Nothing to hide, documentaire franco-allemand, de Marc Meillassoux et Mihaela Gladovic, projeté au cinéma le Saint-André-des-Arts 30, rue Saint-André des Arts à Paris à 13 h du mercredi 6 au 3 octobre. Projections au Rio à Clermont-Ferrand du 13 au 27, au le 24 et 28 septembre. (ces dates et lieux de projections sont ceux annoncés par l'article de LCI lié ci-dessous en espérant que la liste ne soit pas exhaustive)
Un estudio encargado por nada menos que la Comisión Europea (guardado en un cajón desde hace un año) concluye que las ifracciones de copyright en Internet NO hacen disminuir las ventas. Ahora que vengan con cuentos.
@auroch Uff, mira que son mafiosos... Es que el derecho anglosajón no suele contemplar la copia privada (ni se cobra canon compensatorio). En EE.UU. seguro que no, y en UK me suena que sí se podía pero que lo ilegalizaron hace poco. O sea, te compras un CD y no puedes pasártelo al MP3 porque es ilegal. Hay que ser tarugos...
@auroch Pues el canon digital bien que se cobra en Alemania, por tanto la copia privada es legal. Lo que no es legal es colgarlo en Internet. Me imagino que habrá mucho desconocimiento, multones para meter miedo y quizás jurisprudencia interpretada a su manera...
@auroch Con el aMule o el eMule lo cargas. Tiene copyright fijo. Pero esto es copia privada y nadie está sacando dinero de ello, por tanto es legal. No sé cómo será por ahí...